* Pour faire taire les rumeurs Mel Gibson se convertit au Judaïsme: interview
RICARD BURTON: Très cher Mel. Tout d'abord, permettez-moi de vous apporter mon soutien en tant qu'artiste. Ce que vous devez passer en ce moment ne doit pas être simple. Et sachez que personnellement, je comprends les raclées que vous avez infligé à votre épouse. Sa musique est insupportable.
MEL GIBSON: Et elle reflète en tous points les égarements de son âme... le soutien, même d'un nègre, fait du bien Burton. Merci.
RICARD BURTON: Il se dit que vous préparez un biopic sur Etienne Daho. Est-ce toujours d'actualité ?
MEL GIBSON: Evidemment. Ce sera un très gros budget. Je compte filmer des love parade avec des explosions. Faudra de la figuration, beaucoup, qui acceptera de se faire blesser. Parce que moi je ne suis pas friand des effets 3D et si au passage y a deux ou trois pédés que je peux déchiqueter au tir de mortier, je ne vais pas me gêner.
RICARD BURTON: Que pensez-vous des gens du voyage ? Une polémique est en train de naître en France. A chaque saison, sa nouvelle population.
MEL GIBSON: Votre situation est délicate. Personnellement, je ferais un feu de joie avec tous vos romanichelles. Faites ça un 15 août. Les gens n'y prêteront guère attention et lorsque ce sera le cas, ils vous remercieront parce que chacun sait que le monde se doit d'être complètement blanc, c'est logique. On nous parle à tout va d'invasions extraterrestres, qu'on va se faire bouffer le nez par des petits bonshommes verts. Mais tout ça est évidemment faux, fait pour nous détourner des vrais problèmes. On est déjà envahis et les extraterrestres sont pas verts, ils sont noirs ou juifs.
RICARD BURTON: C'est bien ce que je pensais, vous n'êtes pas raciste !
MEL GIBSON: Cela n'a aucun sens. Mon coupeur d'ongles de pieds est noir, mon laveur d'autoradio est juif. Il faut juste qu'ils reconnaissent nos différences, acceptent qu'ils n'ont pas de dieu et qu'ils n'iront pas au paradis. Il faudra que nous les parquions un jour ou l'autre. C'est inévitable. Cela ne sert à rien de créer des tensions stériles.
RICARD BURTON: On vous dit très malade. Est-ce pour cela que vous tirez vos ultimes cartouches dans le but d'attirer l'attention et de laisser un terrain social endommagé à vos enfants ?
MEL GIBSON: Utilise pas trop de termes de nègres pour t'adresser à moi. Et si tu veux savoir en clair, si j'ai abusé de mes enfants, ça c'est secret professionnel. Mais laisse moi te dire que je suis à la lettre: aimer son prochain.
RICARD BURTON: Enfin, je termine comme toujours avec la célèbre question: si Nicolas Sarkozy avait été votre enfant, l'auriez-vous laisser devenir Président ?
MEL GIBSON: Malgré son nom aux consonances suspectes, je crois pouvoir dire qu'il effectue un travail formidable pour la race. Nous aurions besoin d'un tel gardien de l'ordre pour cette sédition prévue en fin d'année. Si par malchance, il n'était pas réélu en France, il est évident que mes potes en blanc ne verraient pas d'un mauvais oeil qu'il prenne la tête de notre mouvement. Tom Ford est d'ailleurs déjà en train de plancher pour confectionner un costume à la mesure de sa dame.
* Interview réalisée avec Mel-ting (Pol)Pot